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| Vues du ciel: "Je surfe sur les nuages" (copyright Z. Haddad). |
Le concert de Charbel Rouhana terminé, c’est vers la Méditerranée orientale que je me tourne encore une fois, avec une même joie renouvelée. Je quitte Genève qui a froid, après de nouvelles chutes de neige... et qui me manque déjà. Un peu.
«Ni ardeur, ni foi, ni passion!»: le film «Mange, prie, aime» est diffusé dans l’avion. Les mots sonnent et m’interpellent. Je me laisse prendre par cet autre sabbatique. Celui d'Elizabeth Gilbert qui, fraîchement divorcée, se met en quête de révélation. À la recherche de son âme. Prête à accepter le changement capable de rétablir un équilibre toujours variable. Egale à elle-même, Julia Roberts étonne. Imperceptiblement, elle m’embarque dans une histoire parfois laborieusement mise en scène.
Léger, je surfe sur les nuages, que j’admire de mon hublot. Le Léman et les Alpes sont derrière moi, à quelques heures... à vol d’oiseau. La majesté des unes, la sérénité de l’autre. Rassérénantes. Devant moi, à venir, les reliefs du Liban, des cinq mille ans de Beyrouth, et la Méditerranée. Ma mer.
Deux continents. Des rives accueillantes. Deux croisées des chemins. Je parcours d’ailleurs le livre de Joëlle Kuntz, «Genève, histoire d’une vocation internationale», qui rappelle notamment le rôle de cette ville comme «pont entre les rives du Rhône quand le fleuve s’échappe de l’emprise du Léman pour filer vers la Méditerranée»! Semblables destinées. Presque.
Ici ou là, l’essentiel demeure: savourer, écouter, cultiver la flamme. Dans un ordre ou un autre... Dans l'intervalle: bon virage vers 2011!
«Ni ardeur, ni foi, ni passion!»: le film «Mange, prie, aime» est diffusé dans l’avion. Les mots sonnent et m’interpellent. Je me laisse prendre par cet autre sabbatique. Celui d'Elizabeth Gilbert qui, fraîchement divorcée, se met en quête de révélation. À la recherche de son âme. Prête à accepter le changement capable de rétablir un équilibre toujours variable. Egale à elle-même, Julia Roberts étonne. Imperceptiblement, elle m’embarque dans une histoire parfois laborieusement mise en scène.
Léger, je surfe sur les nuages, que j’admire de mon hublot. Le Léman et les Alpes sont derrière moi, à quelques heures... à vol d’oiseau. La majesté des unes, la sérénité de l’autre. Rassérénantes. Devant moi, à venir, les reliefs du Liban, des cinq mille ans de Beyrouth, et la Méditerranée. Ma mer.
Deux continents. Des rives accueillantes. Deux croisées des chemins. Je parcours d’ailleurs le livre de Joëlle Kuntz, «Genève, histoire d’une vocation internationale», qui rappelle notamment le rôle de cette ville comme «pont entre les rives du Rhône quand le fleuve s’échappe de l’emprise du Léman pour filer vers la Méditerranée»! Semblables destinées. Presque.
Ici ou là, l’essentiel demeure: savourer, écouter, cultiver la flamme. Dans un ordre ou un autre... Dans l'intervalle: bon virage vers 2011!
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| Imaginer la cinquantaine de 4000 mètres que compte la Suisse (copyright - Z. Haddad) |
3 commentaires:
J'attends impatiemment les details du reveillon a Beyrouth... :-)
Crois-tu que le fait que ce film ait ete diffuse sur le vol sur lequel tu te trouvais soit une pure coincidence??? ;-)
Je trouve que les concepts "Eat", "Pray" et "Love" peuvent tres bien se vivre au Liban... Pas le Liban des soirees mondaines et superficielles, certes! Mais le Liban profond.
Coïncidence? Hmmmmmmmm, sais pas, mais c'est probablement pour ça que j'ai apprécié le film... et c'est vrai que le "concept" est très intéressant!
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